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En 1996, pour les puristes, paraissait Amalgam Comics, une fusion des épisodes de duels DC versus Marvel où l’on pouvait s’extasier devant un Batman vs Captain America, un Aquaman vs Namor ou encore un Green Lantern contre le Surfer d’Argent. Des fans hystériques, des univers télescopés, des anachronismes, des incohérences pour faire cohabiter des trajectoires d’histoires différentes… Tout était réuni pour réconforter nos mamies : « on ne mélange pas les torchons et les serviettes ! »

Et pourtant.

Pourtant, tout le monde aime ça. Et pas que dans les comics. J’en veux pour preuves les apéros dinatoires, les phablettes, les MixTapes, les STB consoles de jeux, les robots autocuisseurs, sans compter les montres qui donnent l’heure !

Notre monde, en plus d’être connecté est de plus en plus fusionné. Nos univers se croisent, se chevauchent, se lient, interfèrent positivement. Ou pas. Vie pro et vie perso sont de plus en plus liées. BYOD, ça vous dit quelque chose ? QVT aussi ? Notre quête de l’épanouissement constant nous incite à tout amalgamer, à tout considérer comme une seule et même équation et nous force à une recherche de l’absolu.

Mais cela pose la question du tout face à la somme des parties. Ca vous dit quelque chose ? Non…
C’est un peu comme le paradoxe de Simpsons (pas Homer, mais Edward). Personnellement j’adore Batman, et le bouclier de Captain America, ben c’est du Vibranium et de l’acier quand même, ça claque ! Mais les deux dans le même Comics, je sais pas, ça me parle moins. Comme les apéros dinatoires. Stop les verrines. Si j’ai faim, j’ai faim.

Là où je veux en venir c’est qu’à tout amalgamer on peut perdre de vue la vision d’ensemble. Paradoxalement. On compile, on engrange, on cumule, on veut que tout soit parfait. Prenez la musique. Tout le monde y va de sa playlist, au point d’en oublier l’essence même d’un titre. Une bonne playlist est-elle composée des meilleures chansons ? Une chanson est-elle meilleure parce qu’elle est dans une bonne playlist ? Rien n’est moins sûr… Et ça m’angoisse !

Je ne dirais pas que j’aime les choses bien rangées, dans des cases, avec des étiquettes immuables. Non, loin de là. Je pense simplement que le principe KISS ; à  savoir garder les choses simples, a de vraies vertus.
Dans mon entourage, au bureau, dans la rue, j’ai trop souvent vu des personnes se perdre en voulant tout gérer, tout contrôler, tout décider, tout stocker, tout compiler. Seuls 2 % de la population ont la capacité à être réellement multitâches. C’est peu ! Sont-ils les seuls à pouvoir apprécier les Amalgam Comics. Peut-être.

En attendant.

En attendant, j’essaye de rationaliser, de faire moins de choses mais de les faire bien. De m’accorder des pauses, longues. Longues car elle me permettent de compenser les retards ! Je me concentre sur ce qui est vraiment utile. Je me dis que chaque petite chose peut contribuer à un grand tout. Grand tout que je ne vois au final jamais mais qui j’en suis sûr n’est plus très loin.
Pour ça il faut vire 100 ans ! Mais j’en parlerai un autre jour…
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Blog Sept-Lieues Recrutement | Peut-on recruter sans téléphone ?
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S'il y a encore quelques années, recruter par téléphone était impensable, c’est désormais essentiel. En effet, il y a quelques années, le rendez-vous physique était LA méthode à adopter pour convaincre une personne de venir travailler pour un client. On prenait alors en compte un ensemble de paramètres, comme le comportement et la gestuelle, pour rallier le candidat à sa cause.

Aujourd’hui, il en est tout autrement : on privilégie le téléphone et autres moyens de communication vidéo aux méthodes d’autrefois. Pourquoi ?

Car on gagne en rapidité et en efficacité, ce qui influe bien évidemment sur les coûts et moyens employés. La principale réticence à tout cela est l’absence de contact visuel. On peut comprendre et voir tellement de choses en regardant une personne dans les yeux qu’il est difficile de se dire qu’on peut aussi bien convaincre (voire mieux) derrière un téléphone.

Et pourtant ! Chez Sept Lieues nous sommes bien placés pour le savoir. Nous procédons aux entretiens par téléphone ou par Skype et les résultats parlent d’eux mêmes… Nous maintenons plus que jamais une relation de proximité et de confiance avec nos candidats.

Pour en revenir à la question ci-dessus "Peut-on recruter sans téléphone ?” je pense que la réponse peut être modulable. Je m’explique. Pour un cabinet de recrutement classique, qu’il soit spécialisé ou non, il n’a aucun intérêt à s'entretenir physiquement avec ses candidats.

Néanmoins, quand il s’agit de grosses multinationales, le poste recherché est très ciblé et fait appel à de nombreuses compétences techniques. Pour ce genre de profil, le process contient plusieurs rendez-vous et entretiens physiques car l’enjeu du poste est trop important.

A l’heure du digital, le téléphone est indispensable dans le recrutement car il permet de pouvoir joindre n’importe qui, n’importe où, ce qui est un luxe qu’on ne peut pas substituer dans un contexte où l’on doit aller vite pour avoir les meilleurs candidats.

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